Mabel Pines - La Jumelle [Terminée]

HISTOIRE - Tout a commencé avec deux œufs, différents et pourtant si semblables. Et après neuf mois, une petite fille sortie du ventre de sa mère, rapidement suivi par un petit garçon. Des faux jumeaux, déjà si proches l’un de l’autre. L’une Mabel, l’autre Dipper, deux nourrissons qui se ressemblaient énormément. Leurs parents, une femme au foyer et un homme médecin, les élevèrent ensembles. Ils leur apprirent les règles de savoir vivre. Chose qu’ils jugeaient manquante chez beaucoup de jeunes de leur ville, Chicago. C’était donc une enfance paisible, banale pour les deux enfants. Ils vivaient entourés dans un monde technologique, mais surtout l’un avec l’autre. Ils ne sortaient pas jouer très souvent, restant ensemble à regarder la télé. Ce schéma se répétant jour après jour.

Pourtant, ils avaient des amis. Mabel était très sociable dans ce monde, et se faisait de nombreuses copines. Mabel resta souvent à côté de son frère, mais ce demandé toujours pourquoi il était seul. Mabel a eux de très grosse difficulté en cours et avait énormément de mal à suivre les cours, dû à son hyper activé. Elle admirait son frère, pour son intelligence et sa compréhension des cours, elle l'envie, Pour Mabel, l'école, à exception des pauses, était d'un ennui et d'une boule au ventre en permanence, peur de se faire interroger. Elle savait qu'elle ne donnerait pas la bonne réponse. Sans son frère pour l'aider à la maison, Mabel n'arrivait pas à l'école.


Un jour, pour leurs douze ans, leurs parents décidèrent de leur faire quitter cette vie de confort. Ils en avaient marre de voir leurs enfants vivre une vie répétitive, qui ne leur apportait rien. Ils ne voulaient pas non plus voir leur fils se renfermer autant sur lui et ne s’ouvrir qu’à sa sœur. Il était impossible qu’il puisse mener une vie saine de cette manière. Mais dans une ville aussi grande que la leur, il était difficile d’aller vers les gens. Ils les envoyèrent donc chez leurs oncles, que les jumeaux n’avaient d’ailleurs pas vus depuis une éternité. Leur village était bien plus petit, et ainsi peut-être que leur fils arriverait alors à communiquer.

Le voyage jusqu’à Alberta fut long mais loin d’être ennuyeux. Le  frère et la sœur riaient de bon cœur, faisant un concours de blague. A leur arrivée, leur oncle Stanford les accueillit aussi chaleureusement qu’il en était capable.

Bonjour, Dipper, Mabel. Bienvenue à Alberta. Je suis Stanford, je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, vous étiez tellement petits la dernière fois que je vous ai vu. Mais vous savez avec mes recherches, je n’ai pas pu me libérer très souvent.

Tout en parlant, ils avançaient, visitant la ville. Ils passèrent devant le café du coin, le poste de police, la supérette, la piscine et bien sûr, l’institut privé où ils continueraient leur scolarité. Puis ils arrivèrent devant un vieux musée, où les attendait Stanley, le propriétaire et jumeau de Standford. C’était un escroc, mais il l’assumait parfaitement.

Ainsi finirent leurs vacances d’été et commença la découverte de leur nouveau collège. Un institut créé par une famille riche, les Northwest, pour éviter à leur enfant de devoir parcourir plus de 25km pour pouvoir aller en cours. De nouveau, Mabel se fit de nombreuses amies, elle voulait que son frère les rejoigne, mais, il ne voulait pas, un truc de mec. Par contre pour la première fois de sa vie, son coté extraverti ne fit pas des heureuses, la fille du propriétaire des lieux, une fille du nom de Pacifica Northwest. Cette dernière méprisée, Mabel et lui montra de nombreuses façons d'humilier la pauvre fille. La jeune fille essaya de profiter de son frère du temps libre qui lui reste, mais il était vraiment moindre.

Puis rapidement, le lycée arriva. Ce fut l’heure des changements, des nouveautés. Leur professeur principal qui était aussi professeur d’Anglais, Mr Cipher, était quelqu’un de particulièrement étrange. Il était jeune, enseignait donc depuis peu et avait ses propres méthodes. Il avait toujours sa canne, qu’il faisait joyeusement tourner lorsqu’il expliquait quelque chose. Il aimait aussi beaucoup la frapper par terre lorsqu’il y avait du bruit ou sur la table des bavards. Les voir sursauté le faisait particulièrement rire. Et tout ça ne rendait ces cours que plus intéressant, même si, pour une raison inconnue, il n’appréciait pas les jumeaux. De son côté, Mabel apprécié de former des couples dans l'établissement privé. Elle apprécié donner du bonheur aux autres ! Elle cherchait même une âme sœur pour Dipper, et une scène, une image la traumatise a jamais. Pacifica a la même table que son frère, elle lui faisait du mal ? On ne dirait pas, il souriait tous les deux, Bon Dipper était un peu gêné, mais un petit sourire espiègle se montra sur le visage de l'étudiante. Elle fit un cadre avec sa main en direction de Dipper et Pacifica. Elle était la fille idéale pour son frère, et la relation entre les deux filles, c'était plutôt calmé, et elle commencé à s'apprécier peu à peu.


Dans son passe-temps, Mabel resta en permanence avec son oncle Stanley. Il lui apprit à vendre diverses choses, et à géré une entreprise, à comprendre comme fonctionner les pigeons. Elle profita pour faire divers petite soirée entre amis, elle invita Dipper mais, il fut toujours occupé avec Ford. Mais quand elle entendait son frère parler de ce qu'il faisait avec leur oncle, elle entendit une voix passionnée. Mabel était heureuse que son frère trouvait sa place. Même s'il lui manque d'être avec lui. Elle a peur de le perdre définitivement. En ce qui concerne les cours, les diverses leçons de Ford l'aide a avancé et à tenir la cadence du lycée.

Et puis était arrivé le début de leur dernière année. Là où il devrait choisir où ils feraient leurs études supérieures. C’était ainsi qu’était partie leur discussion

Et toi Mabel, tu comptes faire quoi ?

La question ne se posait évidemment pas, Mabel était passionnée parce que lui a appris sont oncle Stanley et souhaité faire comme lui. Elle répondit tout heureuse a son frère.

Je souhaite aller en école de commerce !

Toute joyeuse, elle regardait son frère, elle avait une brochure dans les mains, celle d'une bonne faculté, ou le duo Pines pourront être ensemble.

Je comptais continuer d’étudier avec oncle Ford… Il m’a proposé de faire de moi son apprenti.

Mabel tremblante comme une feuille regarda ces chaussures, elle était sur le point de fondre en larmes et tremblait de plus belle. Elle aller perdre la personne la plus importante a ces yeux. Et leva la tête timidement avec son visage mouillé aux larmes.

Pourquoi ... Pourquoi tu me laisses ... Pourquoi on ne continue pas nos aventures, Dipper et Mabel, toujours gagnant !

Ça n’a rien à voir. C’est une opportunité tellement .. Je ne peux pas refuser .. Je crois ..

La jeune femme serra une brochure qu'elle avait dans les mains, celle de l’université d’Utah, la seule faculté ou Mabel a était accepté qui possède un département de physique. Mais elle sait également que les leçons de Ford lui tenaient à cœur. Il lui tendit la brochure froissée en se retenant de pleurer d'avantage.

Tient, si tu ... Si tu changes d'avis. Néanmoins si cela peut te faire plaisir, fonce !

La jeune femme s’essuya ces larmes plus rien ne coule plus, même un petit sourire apparu sur son visage, un sourire forcé. Son cœur lui faisait mal, très mal, elle souhaitait mourir, mais si c'était le choix de Dipper, elle l'acceptera.

Je .. Ne sais pas ..

Mabel regarda son frère baissé la tête, qu'est-ce qu'il était en train de penser. Elle hésita quelque instant, avant de transformer cette hésitation en assurance. Elle s'approcha de Dipper et le prit dans ces bras.

Fait le choix qui te convient le mieux ! Je ne t’en voudrais pas petit frère.

Quelque mois plus tard, ils finissaient leur installation dans un petit appartement pas très loin de l’université. Leur appartement n’était pas particulièrement grand, mais avec la déco de Mabel, il serait rapidement chaleureux. Après tout, ils risquaient de rester ici un bon moment. Mais bon, ce n'est pas grave, Mabel était heureuse, de faire ces études avec son frère, elle sait qu'un jour, ils devront ce séparé, mais autant retardé au plus tard tout en profitant de son frère.